La commune est née de la réunion en 1972 d’Ozouer-le-Repos et d’Aubepierre.
Au XVIè siècle, la seigneurie d'Aubepierre appartient à Liger de Luze. Vers 1770, M. Longuet de Vernouillet, conseiller honoraire du grand conseil, est seigneur d'Aubepierre. Pendant la Révolution, le fief échoit à la famille d'Anjou et l'Eglise détient quelques biens à Bonfruit et Granville, domaines de la paroisse. La commune est réputée jusqu'à la fin du XIXè siècle pour trois distilleries. Aubepierre compte jusqu'au début du XXè siècle une quinzaine d'exploitations agricoles. Avant la Révolution, les dames de Poissy détiennent sur le territoire de la paroisse d'Ozouer le fief de Bois Hébert. Les autres propriétaires sont également religieux, à savoir les moines de Chaumes et l'abbaye de St-Germain. A cette époque, les principales productions du terroir sont les céréales et le cidre. La paroisse compte au XIXè siècle une demi-douzaine d'écarts, dont Bisseaux. Le fief appartient au XIXè siècle à un notaire parisien. Cette commune passe pour être le point central de l'Ile-de-France.
La commune est née de la réunion en 1972 d'Ozouer-le-Repos et d'Aubepierre. Sous l'ancien régime, Ozouer appartient aux moines de Chaumes, aux Dames de Poissy et à l'abbaye de St-Germain. Il s'agit alors d'un lieu de repos et de prière qui accueille également les pélerins sur la route de St-Jacques de Compostelle.
Le nom de la localité est attesté sous les formes Oratorium Repositorii en 1172 ("Oratorium Repositari", "oratoire du repos"), Maison et manoir de Oreor et Oreour en 1250.
Le nom de la localité est attesté sous les formes Parrochia de Abapetra en 1205 (du latin "Alba Petra", "pierre blanche"), deviendra Aubepierre en 1835.
Praedium de Albapetra, le domaine d’Aubepierre.
Aubepierre passe pour être le point central du département
de Seine et Marne.
L’église du village, dédiée à Saint-Christophe, remonte au
XIIème siècle. Le tabernacle du maître-autel est en marbre
blanc, on peut y remarquer un baptistère renaissance à
couvercle en chêne sculpté, 2 statues de Saint-Roch et
Saint-Sébastien et également un amusant vitrail de la
chapelle des catéchismes : Jésus enseignant aux petits
enfants, représentés sous les traits des bambins de la
localité.
Au début du XXème siècle, le curé de la paroisse
d’Aubepierre fit appel à la générosité de quelques familles
de la commune pour remettre un nouveau vitrail dans la
petite chapelle du catéchisme des enfants ou les messes
étaient dites autrefois l’hiver, afin d’éviter le froid de la nef.
La physionomie de l’enfant Jésus de même que celle des
enfants au bas du vitrail, sont celles des jeunes enfants
de ces familles donatrices.
L’enfant Jésus : un enfant GUILLOTEAUX
01 - Robert LEMOINE, né en 1880
02 - Hélène BATAILLE, née en 1876 à Bonfruit
(grande tante de Nicolas BATAILLE)
03 - Edouard NARET, né le 26/09/1894
04 -
05 - Germaine BAULANT, née le 06/02/1883 à
Aubepierre
06 - Suzanne BAULANT, née le 01/06/1888 à
Aubepierre (future Mme A. BATAILLE, grand-mère
de Nicolas BATAILLE)
07 - Robert PETIT, né le 23/08/1899
08 - Madeleine PETIT, née le 12/02/1901
09 -
10 - Marguerite PETIT, née le 11/08/1908
11 - André BATAILLE, né le 15/06/1882
(père de Jean BATAILLE, grand-père de Nicolas
BATAILLE)
L’église Saint-Aubin date du XIème et XII siècles mais a été remaniée au XVIème siècle. L’extérieur de l’édifice a conservé son caractère fortifié et très peu ouvert sur le monde extérieur comme le préconisait la recherche de sécurité au Moyen-Age dans ces lieux de passage, mais cependant isolés dans des campagnes peu habitées. Le clocher est flanqué de contreforts massifs.
A l’intérieur, on peut remarquer au-dessus d’un retable renaissance, 2 grandes statues d’évêques en bois dont une représente Saint-Aubin. Comme dans la plupart des églises de la région « Saint-Aubin d’Ozouer le Repos » conserve une dalle funéraire, celle de Jehan de SEURE et de sa femme représentées debout les mains jointes.
Sous l’Ancien Régime (avant 1789) Ozouer appartenait aux moines de Chaumes. Il s’agissait alors d’une halte de repos et de prières accueillant les pèlerins venus du Nord et poursuivant leur route en direction de Saint-Jacques de Compostelle. La plus ancienne mention écrite date de 1172.
En cas d’urgence, merci de contacter le Maire ou ses adjoints (coordonnées dans les bulletins municipaux ou les flash infos communaux) :
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